Comment calculer le coût de votre crédit immobilier ?
Vous souhaitez acquérir la maison de vos rêves. Mais, quel crédit immobilier choisir ? Pour financer votre bien, les établissements financiers proposent de nombreuses offres. Et, les crédits immobiliers ont bien changé depuis ces dernières années. La tâche devient donc plus difficile. Aussi, est-il utile de savoir comparer grâce à un simulateur de credit immobilier …
Pourquoi utiliser un simulateur de credit immobilier ?
Les crédits immobiliers ont de nombreux atouts pour nous séduire. Ils sont devenus moins chers et plus flexibles pour s’adapter à nos contraintes personnelles. Toutefois, emprunter c’est aussi s’endetter. Aussi, est-il utile d’obtenir les meilleures conditions pour un crédit immobilier qui vous accompagne pour 10, 15, 20, voire 25 ans. Sachez, par exemple, qu’un taux avantageux pour votre crédit immobilier vous sera accordé si vous démontrez votre capacité à épargner, à être stable dans votre emploi, etc. Il est donc indispensable de comparer via un simulateur chaque point du contrat et les frais attachés à votre crédit immobilier.
Comparer les taux de crédit immobilier
Le taux du crédit immobilier est l’un des principaux éléments de comparaison. Celui-ci varie d’un établissement financier à l’autre en fonction :
– de la durée de votre crédit immobilier : plus elle sera courte, plus le taux de crédit sera intéressant ;
– de votre profil d’emprunteur : il s’agit d’évaluer votre capacité à rembourser votre crédit immobilier. Ainsi, par exemple, avec un apport personnel représentant 30 % du montant du bien à acquérir, vous avez de grandes chances d’obtenir les faveurs de votre banquier.
Comparer les frais annexes à votre crédit immobilier
C’est le TEG ou Taux effectif global permet une comparaison au plus juste des crédits immobiliers. Car, un taux initial à 4 % annoncé à grands renforts de publicité peut vite se transformer à 5 %. Le TEG inclut donc :
– les intérêts du crédit immobilier ;
– les frais de dossier ;
– le montant des assurances (décès, invalidité, incapacité…) ;
– le montant des garanties (frais d’hypothèque, de caution).